
Fin de session: l’Université fait de son mieux pour vous détendre
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Semaine du mieux-être
Par Nicolas Hubert
Organisée par le service de la Santé mentale et du mieux-être du département des Ressources humaines de l’Université d’Ottawa (U d’O), la troisième édition de la Semaine du mieux-être s’est déroulée entre le 21 et le 25 novembre sur les différents campus de l’U d’O. Retour sur cet évènement particulièrement bien accueilli par les étudiants en fin de session.
Des ateliers pour mieux gérer le stress et le sommeil
Organisée sous la coordination de Benoît Lefebvre, la Semaine du mieux-être fait appel aux ressources matérielles et humaines de l’ensemble des facultés et départements de l’U d’O. Ainsi, celle-ci est en mesure de mettre à disposition de la communauté universitaire une multitude d’ateliers et d’activités leur permettant de prendre un certain recul face aux charges de travail qui les submergent en cette fin de session.
Lefebvre explique : « Plusieurs activités [avaient] pour but d’analyser notre mieux-être, et de le mettre en perspective, afin de l’améliorer en apprenant par exemple de nouvelles techniques pour mieux gérer notre anxiété ou améliorer notre sommeil. »
Au cours de la semaine, les activités ayant rencontré le plus de succès ont notamment été la zoothérapie, qui a accueilli 167 personnes, l’atelier sur la spiritualité animé par l’aînée autochtone Morning Star, ainsi que les séances de massothérapie gratuites offertes tout au long de la semaine.
Une équipe de massothérapeutes en libre accès
Engagée en tant qu’intervenante externe, l’équipe de l’Académie internationale de l’éducation sur la santé était mobilisée le vendredi 25 novembre à l’Agora du Centre universitaire afin d’offrir des massages aux étudiant.e.s le désirant.
Laura Tracey, la superviseure de l’équipe de massothérapie, explique que cette collaboration entre son école et l’Université s’est révélée doublement fructueuse, car elle a permis aux étudiants masseurs d’acquérir une expérience pratique tout en offrant gratuitement un service de santé pouvant être restrictif en raison de son cout.
« Les étudiants sont généralement très stressés, [les massages] leur permettent de prendre soin de leur santé, puisqu’ils réduisent notamment la pression sanguine », ajoute Tracey.
Ayant saisi cette occasion, Michael, étudiant en seconde année de la Faculté des sciences sociales, confirme que cette initiative est « vraiment utile pour les étudiants ». S’il n’a pas profité d’autres ateliers organisés au cours de la Semaine du mieux-être, Michael affirme que ce court interlude lui a permis d’évacuer une partie du stress emmagasiné au cours de la session.