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Actualités

Revue de presse universitaire

11 février 2013

– Par Sarah Hoy – 

L’anglais à l’Université de Montréal

Quartier Libre, Université de Montréal

À l’Université de Montréal, la quatrième université francophone au monde, un débat est en cours sur l’importance de l’anglais dans les études. La communauté universitaire observe que le bilinguisme est un passage obligé. Pour les étudiants de certains programmes, c’est une nécessité. En science politique et histoire, beaucoup des travaux universitaires sont publiés en anglais et les étudiants doivent donc lire et comprendre des textes dans la langue de Shakespeare. Les professeurs qui ne maîtrisent pas le français constituent un problème selon des étudiants qui trouvent que le mauvais accent des professeurs non francophones et l’usage des mots anglais « complique la compréhension du travail ». Du côté des professeurs, ceux qui ont un poste menant à la permanence ont trois ans pour maîtriser le français.

Rendre publique son homosexualité est bénéfique pour la santé

The Ryersonian, Université Ryerson

Le journal étudiant de Ryerson rapportait la publication d’une nouvelle recherche, réalisée à Montréal, liant la santé mentale avec le fait d’afficher son orientation sexuelle. Les hommes bisexuels ou homosexuels qui rendent publique leur homosexualité ou leur bisexualité sont en meilleure santé que les hommes hétérosexuels. Au contraire, les hommes bisexuels ou homosexuels clandestinement sont en moins bonne santé. La recherche a été publiée la semaine avant dans Psychosomatic Medicine. Elle repose sur 87 participants avec des éducations religieuses différentes: 20 femmes gaies et bisexuelles, 20 femmes hétérosexuelles, 26 hommes gais et bisexuels et 21 hommes hétérosexuels. Les chercheurs ont trouvé qu’il y a une tendance pour les femmes bisexuelles ou gaies d’être un peu plus déprimées que les femmes hétérosexuelles.

Du Viagra pour prévenir l’obésité?

Impact Campus, Université Laval

Le 5 février, le journal étudiant de l’Université Laval rapportait que les chercheurs de l’Université de Bonn en Allemagne étudient la relation entre la perte de poids et la prise de Viagra. Les chercheurs ont mené des expériences avec des souris, auxquelles ils donnaient du Viagra pendant sept jours consécutifs. Les résultats ont montrés que le médicament convertit les cellules adipeuses blanches en cellules adipeuses beiges ou brunes, qui brûlent les gras en les convertissant en chaleur. La pilule bleue est vendue depuis 1998 aux États-Unis. Elle a été développée et utilisée pour combattre l’angine de poitrine et l’hypertension artérielle pulmonaire en plus de son usage primaire pour aider aux troubles d’érections.

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