– Par Sarah Hoy –
La santé mentale dans le système d’éducation post-secondaire
Western Gazette, Université Western Ontario
Le 25 janvier 2013, le journal étudiant de l’Université Western Ontario rapportait que l’Alliance des étudiants du Collège (AEC) a lancé la campagne #Blue2013 sur Twitter. Cette campagne vise à promouvoir la discussion sur les problèmes de santé mentale. De façon anonyme, les étudiants pouvaient diffuser sur Twitter à partir du compte #Blue2013, et à son tour, le compte Twitter de l’AEC diffusait certains messages. Le but de la campagne était de combattre la stigmatisation de la santé mentale et permettre que les étudiants se sentent plus à l’aise en partageant leurs expériences. Cette organisation de promotion se compose de 16 collèges et 23 syndicats. La campagne était inspirée par leur publication, « La santé mentale dans le système d’éducation post-secondaire », qui a été libéré en mai 2012. Depuis la publication du document, le gouvernement provincial a débloqué des fonds pour la santé mentale de 7 millions de dollars pour développer les programmes à l’intérieur des écoles post-secondaires pour les initiatives de la santé mentale.
Un déficit imprévu
The Concordian, Université Concordia
Le 23 janvier 2013, l’Université Concordia a annoncé qu’elle souffrira d’un déficit budgétaire pour l’exercice financier de 2012-2013, pouvant aller jusqu’à 7,5 millions de dollars. Ce déficit est le plus grand déclaré dans son histoire, et serait causé par les coupures de 124 millions de dollars du gouvernement provincial du Québec dans les fonds pour les universités. l’Université s’attendait à recevoir 13,2 millions de dollars. L’Université a révisé son budget plusieurs fois pour couvrir le manque de fonds. Une façon d’économiser de l’argent serait de fermer les positions d’offre d’emploi qui étaient couramment ouvertes. Pour le recteur, Alan Shepard, une priorité majeure est d’éviter que le déficit n’affecte les étudiants négativement. Si les fonds n’avaient pas été coupés, l’Université aurait connu sa troisième année d’affilée sans déficit.
Hausse de l’expérimentation animale
The Ubyssey, Université de la Colombie-Britannique
En 2010, l’Université de la Colombie-Britannique (UCB) a rendu publique leurs nombres d’animaux de recherche, sous les pressions des activistes contre la recherche sur les animaux (STOP UBC Animal Research). L’équipe veut cesser les expériences de Catégorie D, qui causent « d’une modérée à grave détresse ou inconfort », et de Catégorie E, « qui causent la douleur sévère presque, au niveau ou au-dessus du seuil de tolérance de douleur des animaux conscients non anesthésiés ». Le nombre d’animaux était de 211 (catégorie D) et 604 (catégorie E). Le nombre d’nimaux utilisés dans les recherches UCB en 2012 et en 2011 étaient de 225 (catégorie D) et 043 (catégorie E). L’augmentation est due au programme d’élevage qui s’est diversifié pour les souris génétiquement modifiées.