Actualités

Par Mathieu Tovar-Poitras – Rédacteur en chef

Services d’appui à la santé mentale en ligne

The Eyeopener, Université Ryerson

Le 21 septembre dernier, le Conseil d’administration de l’Union des étudiants de Ryerson a adopté une motion qui aura comme effet d’étendre les services fournis par le programme myWellness. Le programme en question permet déjà aux étudiant.e.s d’accéder à des ressources, de faire une évaluation de santé mentale anonyme et d’obtenir divers conseils. La nouvelle motion permettra aux étudiant.e.s d’avoir des séances de consultation digitales avec des experts. Selon The Eyeopener, cet ajout permettrait à tous les membres de la communauté étudiante d’avoir accès à 14 séances durant l’année.

Une fraternité sous enquête après une hospitalisation

The Gateway, Université de l’Alberta

La fraternité DKE de l’Université de l’Alberta est sous enquête policière après qu’un étudiant ait été hospitalisé suite à de multiples coups à la tête et une mâchoire fracturée. En plus de l’enquête criminelle menée par la police d’Edmonton, l’Université fait sa propre enquête interne afin de sévir contre la fraternité, qui n’en est pas à ses premiers incidents. L’organisation avait été suspendue en 2011 pour des incidents survenus en 2010. L’incident survenu le 7 septembre se serait déroulé devant la maison de la fraternité et la victime aurait été impliquée dans une altercation qui aurait ensuite dégénéré. DKE n’a pas encore commenté la situation.

Le drapeau Mi’kmaq maintenant permanent à l’Université Saint-Francis-Xavier

The Xaverian, l’Université Saint-Francis-Xavier

L’Université Saint-Francis-Xavier a, le 7 septembre, installé de manière permanente le drapeau de la première nation Mi’kmaq. Devant plusieurs membres de la communauté universitaire, Mi’kmaq et néo-écossaise, le drapeau fut installé à l’entrée du bâtiment Morrison. En octobre 2016, l’Université avait temporairement installé le drapeau dans le cadre du mois de l’histoire Mi’kmaq pour ensuite le retirer dès la fin du mois. L’Université et la communauté perçoivent ce geste comme un moyen de continuer dans le fil de la réconciliation et de promouvoir les relations.