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Parenthèse française: Semaine du 6 au 12 février 2017

6 février 2017

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Par Clémence Labasse – directrice artistique

Parenthèse française… et autres franco-actus d’à travers le monde

QUÉBEC Dernier hommage aux victimes de l’attentat terroriste de Québec –  Le jeudi 2 février à Montréal, plus de 5 000 personnes sont venues assister à la cérémonie funéraire de Khaled Belkacemi, d’Abdelkrim Hassane et d’Aboubaker Thabti, trois des six victimes de la tuerie du Centre culturel islamique de Québec, survenue dimanche 29 janvier. Le premier ministre du Canada Justin Trudeau s’y est recueilli, accompagné du premier ministre québécois Philippe Couillard et des maires de Montréal, Denis Coderre, et de Québec, Régis Labeaume. 

RDC – Des Français libérés après deux mois de détention – Le 17 novembre 2016, Frédéric Boyenga et Pablo Diumbu Ndjeka, deux Français d’origine congolaise avaient disparu à Kinshasa. Membres du parti Unir-MN, ils s’y étaient rendus afin de discuter avec les autorités de solutions à la crise politique qui touche le pays. Samedi 4 février, ils sont finalement rentrés en France après avoir été libérés par l’Agence nationale de renseignement congolaise. Les détails sur leur détention restent flous.

FRANCE – Des militaires attaqués à la machette à Paris – Vendredi 3 février, vers 9 h 50, un homme armé de deux machettes s’est rué vers des militaires de l’opération de sécurité Sentinelle dans le Carrousel du Louvre. L’assaillant a été grièvement blessé par un des soldats. Le même jour, le président américain Donald Trump s’empressait de gazouiller au sujet de l’attaque du « nouveau terroriste islamique radical » afin de justifier une nouvelle fois ses politiques, alors que rien n’avait encore été révélé sur l’identité de l’assaillant.

BELGIQUE-RDC – Décès de l’opposant congolais Étienne Tshiekedi – L’ancien homme d’État devenu opposant politique est décédé mercredi 1er février à l’âge de 84 ans, à Bruxelles. Premier diplômé en droit du Congo en 1961, Tshiekedi s’impose rapidement comme une figure incontournable de la vie publique congolaise. En désaccord avec le régime politique du dictateur Mobutu, de qui il était autrefois proche, il devient opposant politique en 1980 et consacre alors sa vie à la lutte pour la démocratisation du pays.

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