– Par Émilie Deschamps – 

Le 9 janvier, des représentants des premières nations ont fait résonner chants et tambours au pavillon Tabaret de l’Université d’Ottawa (U d’O) alors que près de 200 sympathisants effectuaient des danses rondes sur les trois étages de la rotonde. L’évènement, nommé Mouvement étudiant et Idle No More unis, était organisé par l’Association des étudiant.e.s en études autochtones et canadiennes (AÉÉAC) de l’U d’O.

Les danses et chants ont ensuite laissés place à une série de discours de membres des premières nations et de groupes sympathisants. L’AÉÉAC a présenté cinq revendications en lien avec cet évènement, revendications qui s’inscrivent dans le mouvement Idle No More, mais qui s’appliqueraient à l’U d’O. Parmi celles-ci, on retrouve l’idée de créer des mineures en langue mohawk et algonquine ainsi qu’un Institut d’études autochtones et de décolonisation. L’AÉÉAC demande également à l’U d’O « une augmentation considérable des bourses d’études […] en faveur des étudiants autochtones […] ».

Les détails dans notre édition du 14 janvier.