Par Marcel Ondako
La course contre le cancer est une course de la Banque CIBC pour la Fondation canadienne du cancer du sein qui a lieu chaque année afin de relever des fonds et de courir pour soutenir la collecte de fond. C’est une tradition à laquelle les étudiants de la Faculté de droit section droit civil participent avec enthousiasme.
Pour beaucoup d’étudiant.e.s, octobre signifie l’automne, l’Halloween, la semaine de lecture et les examens de mi-session et pour certains, octobre est aussi le mois de la prévention du cancer du sein. Pour plusieurs, prendre part à la course contre le cancer du sein a une signification très profonde, puisqu’une femme sur 9 recevra le diagnostic du cancer du sein dans sa vie. La Banque CIBC, qui a décidé de s’allier à la Fondation canadienne du cancer du sein, célébrera cette année ses 20 ans de partenariat. Ce partenariat a aidé à financer des projets de recherche en technologie de dépistage et des programmes de soutien afin de venir en aide aux femmes qui sont touchées par le cancer du sein.
L’aspect physique de la course
Le titre de la course laisse déjà sous-entendre que ce n’est pas une simple marche. C’est effectivement une course ou une marche sur un trajet de 1 ou 5 km. C’est le moment idéal pour les étudiant.e.s de la section de droit civil de se remettre en forme, ou de continuer de l’être, en vue de la course. La marche permet aussi de s’amuser tout en faisant de l’exercice physique et de faire une collecte de fonds qui sert à une noble cause.
Une course qui rassemble
Le comité étudiant de la section de droit civil a toujours encouragé les étudiant.e.s de faculté à s’impliquer le plus qu’ils et elles pouvaient dans la course. Cette initiative permet aux étudiant.e.s de se changer les idées, de laisser leurs livres de côté, de quitter la bibliothèque quelques heures pour participer à un évènement important pour plusieurs. La course continue d’être rassembleuse et inspirante, et c’est en partie grâce aux étudiant.e.s en droit. La course a eu lieu le dimanche 2 octobre 2016. C’est une tradition qui, espérons-le, sera perpétuée avec autant de succès.