– Par Roxanne Bourque –
Avec le début du semestre, les nouvelles séances de yoga offertes sur le campus et aux alentours vont bientôt commencer. La Rotonde donne la parole à une bénévole qui fait avidement du yoga.
« J’ai essayé deux types de yoga et même si j’aime les deux styles, je préfère le yin. Le yin yoga est le style qui m’aide plus à atteindre mes buts et est plus confortable. Il est vraiment axé sur l’étirement des muscles et la relaxation. On voit vraiment une différence en nous lorsqu’on revient d’une séance. On est moins stressé et on ressent un équilibre énergétique.
« Dans le yoga chaud on fait les mêmes poses que le yin yoga, mais dans une salle réchauffée à une certaine température. La chaleur aide à assouplir les muscles alors on peut mieux s’étirer. Par contre, je trouve que la chaleur devient lourde et empêche de pratiquer certains mouvements assez longtemps pour qu’on ressente pleinement leurs effets. De plus, je trouve que l’on sort du cours plus fatigué et épuisé que bien détendu.
« J’ai aussi participé à la séance que Elevate Yoga offrait à l’Université le mardi 2 décembre au Terminus. Le cours était donné par Crystale Boisvert et était différent des cours habituels. Elle s’est basée sur le yoga Atha qui est une base très pratiquée et le yoga Cundulini qui relâche la tension dans le système nerveux en utilisant des mouvements répétitifs. Boisvert offre aussi des séances de yoga chaud, Power yoga et du yin yoga ».
La Rotonde a aussi rencontré deux étudiantes de l’Université d’Ottawa qui participent aux séances hebdomadaires de yoga les lundis dans la résidence 90 Université et elles trouvent que ce sont des séances très conviviales. Nadia Champagne partage son expérience aux séances de yoga sur le campus : « On travaille surtout sur la respiration et on en sent vraiment les bienfaits. Ce qui est plaisant, c’est qu’on n’est pas pressé et qu’on peut y aller à notre rythme. Le professeur nous guide très bien, c’est seulement dommage que le cours ne se donne qu’en anglais, certaines personnes pourraient avoir du mal à suivre ».