La Rotonde a invité tous les candidats se présentant aux postes de l’exécutif à passer une entrevue la semaine dernière. Le poste de vice-président aux services et communications est vacant depuis que l’unique candidat, Radi Shahouri, s’en est retiré la semaine dernière.
Nous présentons ici des extraits des entrevues. L’entièreté de chacune des entrevues se trouve en format vidéo sur larotonde.ca. Les plateformes officielles de chacun se retrouvent au site sfuo.ca/fr/election-generale-2015. Les élections auront lieu du 10 au 12 février.
Les équipes électorales
Impact
« Impact est inspiré des expériences des candidats en termes d’identité et d’idée. On veut avoir un impact positif. Nous avons un objectif commun, soit d’avoir un impact positif et d’être efficaces à améliorer notre campus ». – Taylor Davidson
« L’idée est d’amener beaucoup de professions avec le travail qui est déjà fait. On a une vision commune et on s’est affilié pour pouvoir pousser nos objectifs. Chaque candidat a ses forces et on se complimente bien. C’est sûr qu’il y a du travail à faire, mais en même temps notre vision est d’avoir un impact positif ». – Roselyne Dougé-Charles
Ici pour nous
« Nous sommes deux candidats. On a écouté plusieurs voix sur le campus dans de différents milieux et on voit qu’il y a quelque chose qui manque. On commence un mouvement pour réengager les étudiants et pour qu’on puisse écouter les étudiants. On est tous étudiants, on est tous ici ». – David Gakwerere
ABC
« ABC, c’est une vision d’avoir un bon campus. On a deux valeurs : la responsabilité et la transparence ». – Dana Abu Hammad
« L’ABC pour nous, ça veut dire le retour à l’essentiel. Simplement, ces trois objectifs, ce sont des règles et une vision du retour à l’essentiel ». – Mutasem Abu Hammad
Candidats à la présidence
Nicole Desnoyers
La Rotonde : Nommez trois accomplissements que vous avez achevés en tant que leader, particulièrement sur le campus.
D’abord, ma fierté est le pow-wow annuel. J’étais très impliquée dans le premier pow-wow de 2013. C’est difficile de décrire le sentiment, en étant étudiante autochtone moi-même, de voir notre culture représentée sur le campus. Lorsque je me promène sur le campus, des étudiants m’arrêtent pour dire : « C’est toi la fille autochtone à la FÉUO! ». Juste le fait que les gens en parlent, s’en souviennent et font le lien entre le soutien des étudiants autochtones et la FÉUO est merveilleux.
Également, avoir travaillé avec les corps fédérés pour développer un protocole pour contrer les agressions sexuelles pendant la Semaine 101. Au cours des deux dernières années, on a vraiment augmenté les conversations sur les agressions sexuelles et la culture du viol sur le campus. C’était une très belle collaboration, ce n’était pas juste moi qui ai présenté un document.
Enfin, les Assemblées générales. Même si on manquait 11 personnes pour atteindre le quorum, c’était un grand succès. Je ne me rappelle pas d’un événement qui n’était pas dans la Semaine 101 où on avait au-delà de 300 personnes dans une salle avec la FÉUO. Ça montre un intérêt des étudiants de s’impliquer.
La Rotonde : Concrètement, en termes de services, quel rôle doit jouer la FÉUO?
J’espère que la FÉUO va devenir une place où l’on trouve de tout : la première place à laquelle les étudiants vont penser quand ils ont besoin de soutien académique, de nourriture, d’événements sociaux. Avec nos entreprises, nous offrons des prix abordables pour nos étudiants. La FÉUO est non seulement là pour représenter les étudiants mais pour travailler avec eux. Je vois déjà une augmentation dans l’implication des étudiants dans les cinq dernières années. Je veux que les étudiants sachent qu’il y a un syndicat qui est là pour eux.
La Rotonde : Pourquoi devrait-on voter pour vous?
Mon expérience. J’ai deux années d’expérience à l’exécutif de la Fédération étudiante sur deux portfolios différents, donc je me connais très bien dans les affaires internes de la FÉUO et de l’Université. Ça fait trois ans que je travaille avec l’administration puisqu’avant j’ai passé un an au Bureau des gouverneurs. Je suis très familière avec les politiques de l’Université et les enjeux.
David Gakwerere
La Rotonde : Nommez trois accomplissements que vous avez achevés en tant que leader, particulièrement sur le campus.
J’ai fait partie de plusieurs associations, entre autres au sein de l’AÉÉPIDSSA, l’Association des étudiants en études politiques, internationales et en développement. J’ai été guide aux Semaines 101 et c’est le fun d’être là et de créer des espaces sécuritaires. J’ai été directeur du Centre de bilinguisme de la Fédération étudiante où on a engagé les communautés francophone et anglophone. J’ai pu apprendre comment les corps fédérés et la Fédération fonctionnent.
Finalement, j’ai eu le plaisir d’être directeur général des élections partielles en sciences sociales et président d’assemblée. J’ai aussi été ombudsman de La Rotonde cette année. C’était quelque chose de vraiment cool puisqu’il fallait que je reste neutre et impartial. Une bonne leçon que j’y ai apprise : il ne faut pas savoir exactement quoi faire au début. Quand je suis entré en poste, je suis allé voir l’ombudsman de l’Université pour apprendre ses outils et je suis allé voir le Centre d’équité et des droits de la personne, un service de la FÉUO. J’ai été impliqué avec beaucoup d’associations, j’ai de bonnes connaissances et je suis prêt à attaquer d’autres défis.
La Rotonde : Concrètement, en termes de services, quel rôle doit jouer la FÉUO?
Premièrement, les services. À l’Université, les services sont là mais il faut aller les chercher. La Fédération doit être un pont pour faire en sorte que ton expérience ici soit la meilleure. On a plein de différents services et de différentes façons de s’impliquer.
Il faut être à l’écoute pour rester pertinent pour la population étudiante : être présent et visible. On a des milliers de voix sur le campus. Il faut donc toujours pousser plus loin pour avoir une belle vue de l’ensemble.
La Rotonde : Pourquoi devrait-on voter pour vous?
Mes expériences diverses. J’ai travaillé aussi sur la Colline parlementaire comme superviseur au programme des pages. J’ai les capacités et les habiletés nécessaires, mais je ne peux pas le faire tout seul. On est tous ensemble là-dedans. On a une très bonne capacité à aller plus loin. J’ai une bonne attitude et moi et Nicole Maylor (équipe Ici pour nous), on écoutera les étudiants tout au long de la campagne.
Candidats à la vice-présidence aux affaires d’équité
Dana Abu Hammad
La Rotonde : Comment jugez-vous le travail de vos prédécesseurs sur le plan de l’équité?
Je pense qu’ils ont fait un très bon travail et je vois qu’il y a des choses à améliorer, comme la communication avec les étudiants et la transparence entre ce qui se passe dans la FÉUO et la publicité des événements de la FÉUO.
La Rotonde : Pourquoi vous intéressez-vous à l’équité? Celle-ci a quelle signification?
Je fais partie du plus grand club sur le campus, l’Association des étudiants musulmans, et je vois qu’il y a beaucoup de problèmes entre l’exécutif, la FÉUO et les clubs ; je veux améliorer l’expérience des étudiants qui font partie des clubs.
La Rotonde : Pourquoi devrait-on voter pour vous?
Voter pour la communication, la transparence et la responsabilité. Je pense qu’il y a beaucoup de choses qu’on peut changer et que je suis une bonne candidate pour les changer. Il faut avoir de la qualité à tous les niveaux de la FÉUO. J’ai trois points de plateforme personnelle. Je veux changer le transfert des finances aux clubs, je veux le faciliter. Également, je veux changer les méthodes des commentaires et suggestions après les événements de la FÉUO. Enfin, je veux faciliter l’accessibilité aux clubs de la FÉUO et avoir plus de participation des étudiants aux activités.
Nicole Maylor
La Rotonde : Comment jugez-vous le travail de vos prédécesseurs sur le plan de l’équité?
Le poste de vice-président à l’équité est très nouveau, ça fait deux ans, donc il n’y a pas eu beaucoup de choses faites déjà, mais je pense que Maya McDonald a mis l’accent sur les clubs. Son travail est bon, mais je pense que le poste d’équité doit mettre l’accent sur l’éducation. Il n’y a pas beaucoup d’éducation sur l’équité sur le campus, à mon avis. On peut faire mieux.
La Rotonde : Pourquoi vous intéressez-vous à l’équité? Celle-ci a quelle signification?
Je suis affectée par l’équité dans ma vie quotidienne et cela m’intéresse parce que je fais beaucoup de choses avec l’équité dans ma vie. Je fais partie de beaucoup de programmes. L’été passé, j’ai fait partie du Forum social des peuples, une convergence de militants, et j’ai appris beaucoup sur l’équité. Je pense que je peux être une liaison entre les étudiants et l’administration sur les enjeux d’équité.
La Rotonde : Pourquoi devrait-on voter pour vous?
Je pense que les étudiants devraient voter pour moi parce que je m’intéresse à l’équité, mais je sais que je ne sais pas tout sur le sujet. Je suis dans la position d’en apprendre plus des étudiants, et je pense que j’ai une très bonne fondation pour faire du bon travail. J’ai aussi une bonne éthique de travail. On peut avoir beaucoup de passion pour l’équité, mais si l’on n’a pas cette éthique de travail, cela ne marche pas.
Roselyne Dougé-Charles
La Rotonde : Comment jugez-vous le travail de vos prédécesseurs sur le plan de l’équité?
Le poste est quand même nouveau et le rythme du poste est différent pour chaque personne qui a été élue. La première a été Nicole Desnoyers. Elle a fait un travail extraordinaire. Puis, Maya McDonald aussi. Ses atouts incluent le nouveau calendrier social. Je fais partie du Black Collective et on a bien collaboré avec elle.
La Rotonde : Pourquoi vous intéressez-vous à l’équité? Celle-ci a quelle signification?
J’ai une identité diversifiée, donc j’ai rencontré beaucoup de défis sur le campus et je me suis impliquée. Je suis la représentante francophone de la Black Student Leaders Association et je fais partie de la Black Collective, qui a vu le jour cet autonome. J’ai vu que la FÉUO, avec ses ressources, peut amener des changements positifs. Je veux faire partie de la FÉUO pour que les personnes avec différentes identités se sentent inclues et confortables sur le campus. J’espère vraiment que le Centre des étudiants racialisés sera adopté par le référendum, parce que ça serait une ressource vitale. Aussi, je crois qu’il faut avoir davantage de toilettes pour tous les genres, pour que tous les étudiants se sentent à l’aise d’aller à la toilette sans avoir à choisir la toilette [d’un sexe]. Il faut aussi plus de visibilité du Centre des étudiants ayant un handicap. Pour que les accommodations dans les salles de classe soient plus que justes pour ceux qui ont un billet de médecin. [Pour les accommodements religieux], je crois que c’est important d’avoir une salle de prière dans le sud du campus.
La Rotonde : Pourquoi devrait-on voter pour vous?
Pour plusieurs raisons. J’ai travaillé beaucoup pour amener une voix aux étudiants noirs et racialisés. J’ai de l’expérience en dehors du campus sur le travail d’équité. J’ai travaillé à Montréal avec les jeunes et je travaille à une banque en ce moment où j’ai pu amener beaucoup de changements d’équité. J’ai beaucoup de projets que je veux faire sur le campus et parce que j’ai une vision extérieure et intérieure du campus, je peux amener une vision différente.
Candidats à la vice-présidence aux finances
Mutasem Abu Hammad
La Rotonde : Quelle est votre expérience en finances et en gestion de commerce?
Je suis maintenant en troisième année. En première année, des amis et moi avons commencer la Fondation Nyantende pour amasser des fonds pour les enfants au Congo, pour qu’ils puissent aller à l’école. C’est ma troisième année en tant que vice-président aux finances de la Fondation. J’ai appris deux choses très importantes. La première étant que n’importe quelle organisation doit toujours avoir un budget que tout le monde comprenne. Si une personne de l’équipe ne comprend pas d’où vient l’argent ou d’où elle sort, ça cause des problèmes de respect et de compréhension entre les membres. Pour moi, ça va être l’objectif d’avoir un budget transparent. Deuxièmement, dans n’importe quelle organisation, il y a souvent une tension au niveau de la communication et des finances. C’est quelque chose que j’aimerais également changer au niveau de la FÉUO.
La Rotonde : Quel est votre avis sur l’état actuel des finances et des commerces de la FÉUO?
Il y a toujours des opportunités pour changer ou innover. Je ne peux pas dire que c’est bon ou mauvais.
La Rotonde : Pourquoi devrait-on voter pour vous?
Avec la vision du retour à l’essentiel, je veux améliorer la relation entre les clubs et les représentants de la FÉUO et je veux également changer la manière dont nous réservons des fonds aux clubs. C’est également d’améliorer l’expérience des étudiants car c’est notre campus et on devrait en être fiers. Pour moi, en tant que v.-p. aux finances, mes trois objectifs sont d’améliorer la relation entre les clubs et la FÉUO. Il y a toujours des manières pour innover, changer, améliorer et gérer l’argent.
Taylor Davidson
La Rotonde : Quelle est votre expérience en finances et en gestion de commerce?
Je suis étudiante de troisième année à l’école de gestion Telfer. J’ai déjà suivi tous les cours obligatoires en comptabilité et en ressources humaines, ce qui représente une grande partie du poste. Ça, c’est mon expérience technique. Je suis familière avec les structures, les processus et les budgets parce que je travaille à la Banque alimentaire de la FÉUO, où je suis superviseure des bénévoles et de la sensibilisation.
La Rotonde : Quel est votre avis sur l’état actuel des finances et des commerces de la FÉUO?
L’état n’est pas grave. La FÉUO est en bonne condition. Tous les commerces sont rentables. J’aimerais assurer que la Semaine 101 reste en dedans du budget cette année et que les commerces continuent leur succès. Les finances sont bien organisées et transparentes.
La Rotonde : Pourquoi devrait-on voter pour vous?
J’ai l’éducation et les expériences nécessaires du côté technique du poste et de l’autre côté, je veux créer un environnement où l’éducation postsecondaire soit accessible pour tous. En parlant avec les étudiants qui ont des défis, je veux avoir un impact sur le campus.
Candidats à la vice-présidence aux activités sociales
Roméo Ahimakin
La Rotonde : Quel genre d’activités et d’événements aimeriez-vous organiser l’année prochaine et comment allez-vous assurer que ces activités répondent aux intérêts des étudiants et qu’elles leur soient accessibles?
Je pense organiser un bon nombre d’activités, par exemple une nuit blanche pour les étudiants réservés ou plutôt sous l’emblème de rester éveillé toute la nuit, de nous amuser et de passer du bon temps. Aussi, je pense organiser des soirées queer au 1848 et beaucoup d’activités en collaboration avec les clubs culturels sur le campus parce que ce sont des clubs qui sont déjà là et qui ont un public qu’ils touchent déjà, et participer aux activités qu’ils organisent déjà serait bien pour le reste des étudiants. Ça leur donnerait plus de visibilité et plus de soutien. Je veux donner un nouveau souffle et diversifier le portfolio philanthropique qu’on a déjà. Il y a toujours de place pour de nouvelles activités.
La Rotonde : Comment allez-vous assurer une bonne coopération et un bon dynamisme entre la FÉUO et les corps fédérés en termes d’activités sociales?
La relation avec les corps fédérés est absolument indispensable et avoir une bonne communication avec eux l’est tout autant. Ils savent exactement ce que les étudiants de chaque faculté veulent, ça fait longtemps qu’ils organisent des activités qui sont ancrées dans la tête des étudiants. Je pense que la coopération, ça passe par le travail ponctuel et ça passe par des rencontres où on est à l’aise de discuter de tout ce que l’on pense. C’est l’échange constant, le respect des échéances. […] C’est ça, travailler avec des gens que l’on connait moins, c’est d’apprendre à travailler ensemble. Il faut discuter, il faut voir comment organiser de nouvelles choses. En tout, c’est beaucoup de communication et beaucoup d’échanges sur tous les sujets.
La Rotonde : Pourquoi devrait-on voter pour vous?
Je suis dynamique, je suis bâti pour la tâche, je suis quelqu’un de très investi dans la vie étudiante depuis ma première année. Comme je vous l’ai dit, j’ai participé à beaucoup de choses, mais je suis aussi coordinateur à la Maison internationale et avant ça, j’étais superviseur des activités. J’ai pu organiser de très grands évènements comme le Gala international, la Semaine internationale et beaucoup d’autres évènements. Je pense que le campus de l’Université, c’est une grande communauté et il faut être capable de saisir les étudiants de tous les coins et les faire se sentir comme des membres de la communauté. […] L’esprit de communauté et de détente, c’est quelque chose que je veux vraiment développer sur l’ensemble du campus.
Hadi Wess
La Rotonde : Quel genre d’activités et d’événements aimeriez-vous organiser l’année prochaine et comment allez-vous assurer que ces activités répondent aux intérêts des étudiants et qu’elles leur soient accessibles?
J’aimerais organiser des activités qui se rapportent aux besoins des étudiants, des événements où ils peuvent se sentir très engagés dans la communauté. Pour la Semaine 101, je voudrais collaborer avec les services sportifs afin d’organiser un home-coming. En plus, je voudrais fournir des possibilités de bénévolat aux étudiants. Ma concentration sera sur la philanthropie en général. Par exemple, une journée de philanthropie où tous les étudiants et étudiantes soutiennent et défendent des causes différentes. Je veux aussi un gala des clubs où tous les bénévoles et membres des clubs soient remerciés. Ça serait différent du gala des bénévoles actuel, qui est particulier aux bénévoles des services de la Fédération étudiante. Au sujet de l’accessibilité, j’aimerais collaborer avec le Centre d’accès de l’U d’O. Je suis une personne qui adore la diversité et c’est vraiment très évident en voyant mes expériences.
La Rotonde : Comment allez-vous assurer une bonne coopération et un bon dynamisme entre la FÉUO et les corps fédérés en termes d’activités sociales?
Il faut collaborer. Premièrement, en ayant un calendrier social pour toute l’année. Je veux établir des rapports forts avec les étudiants, les corps fédérés et l’administration, tout le monde, et particulièrement avec la Table ronde sociale. Je mettrai l’accent sur deux choses importantes : la transparence et la responsabilité.
La Rotonde : Pourquoi devrait-on voter pour vous?
Mon expérience sur le campus est très riche. Je suis président du club italien, et l’année passée j’étais vice-président social du même club. Je suis l’ambassadeur étudiant des études arabes. J’ai travaillé au Service du logement pendant trois ans où j’avais l’occasion d’être un directeur de zone. J’ai organisé plusieurs événements comme Student Madness Midnight, les Loblaws Rides, un Meet and Greet avec Allan Rock et International Blast. Je suis président et fondeur d’un club qui s’appelle Seek to Speak, un club philanthropique. L’année passée, on a organisé uOttawa So You Think You Can Dance. C’était vraiment un grand succès. Avec toutes ces expériences, j’ai pu établir des relations fortes et je me suis rendu compte des besoins des étudiants. Je suis très fier d’être étudiant à l’U d’O et j’ai beaucoup à offrir. J’ai toujours travaillé pour faire une différence.
Candidate à la vice-présidence aux affaires universitaires
Vanessa Dorimain (candidate unique) – Elle n’a pu rencontrer La Rotonde.
La Rotonde : Comment allez-vous tenter d’enrichir la vie étudiante sur le plan académique?
J’aimerais aider tous les étudiants pour qu’ils aient accès à tous les services qu’offre cette université, qu’ils soient étudiants à temps partiel ou à temps plein.
La Rotonde : Pourquoi devrait-on voter pour vous?
Je pense que les étudiants devraient voter pour moi et mon équipe parce que nous nous soucions des problèmes des étudiants et nous voulons que tous les étudiants se sentent inclus et appréciés.